41e régiment mitrailleurs d'infanterie coloniale

Mon Grand père s’est engagé pour 5 ans a terme fixe a Dijon le 23 Mai 1938 au titre du 41e Régiment Mitrailleurs d’Infanterie Coloniale et pour le service général des troupes coloniales. Il est arrivé au corps le 25 Mai 1938 sous le numéro matricule ou répertoire 6365 et ratifié son contrat le 13 juin 1938 suivant l’avis du chef de corps n° 865 en date du 8 juin 1938.
Il a été fait prisonnier à Saint Dié le 23 juin 1940 et interné au Stalag V A sous le numéro 12 246.

D’après des cartes postales qu’il a envoyé a ma Grand-mère, Il s’est évadé par deux fois du Stalag VA (car il lui faisait des injections très douloureuses d’après ce qu’il a raconté a celle-ci) et envoyé au Stalag V B et contraint de travailler dans quelques fermes avoisinantes au camp ainsi que chez Daimler Benz (ou la vie était complètement différente du stalag VA).
Il est libéré par les troupes françaises le 2 Mai 1945 puis rapatrié le 4 juin 1945. Il est démobilisé par le centre de démobilisation de Dijon le 8 Juillet

Son transfert n’est pas repris sur ces états de services alors qu’il a bien terminé son « incarcération » au stalag VB ! Pourquoi ?

Qu’a-t-il fait entre juin 38 et juin 40 ?
Sur l’extrait des services, il est écris : campagne du 2.9.39 au 22.6.40 : A.ACD - que cela signifie t il ?
Puis du 23.6.40 au 3.6.45 capt CS – (sa captivité donc)

S’est-il fait « attraper » a Saint Dié ou bien à t il été retenu a saint Dié ?


Pouvez vous m'aider sur ces quelques questions ?

merci
:ffdd:

Bonjour
Je te refais la même réponse que celle que je t'ai faite sur le forum de l a 2GM
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"La situation est presque la même que dans ma réponse sur le post "je suis perdu".
Il faudrait que je recherche mais de mémoire le 41RMIC appartient au 20 Corps d'Armée qui, face à l'avancée allemande tente puis des positions proches de la ligne maginot une exode vers le sud en passant par les Vosges. Le front du 20 CA cède, et les unités se regroupent dans la zone de Saint-Dié. Le 41 RMIC, le 51 RMIC le 20 BBC et le 49 RIA tentent une dernière contre-attaque le 22 juin depuis la Bourgonce vers Nompatelize quand l'ordre N°40 de la III Armée ordonne le cessez le feu. Aprés la suite est la même que le post "je suis perdue". Je travaille sur un parcours d'un soldat du 41 RMIC je pense qu'il est passé par Strasbourg dans une des casernes, Vauban exclu, il a été également dirigé vers le VA."

Christophe

désolé je ne suis pas allé au bout du topic !

Qu'en est il de votre travail sur le soldat du 41 RMIC ?

Avez vous vu ma photo dans la rubrique "photos et documents" ?