bachi marine date ?

Bonsoir, j'ai rentre se bachi il ya pas longtemps il y a un matricule que je n'avais jamais vu, que pouvez vous me dire sur se matricule ?

Merci a tous



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Bonjour
La fabrication est pour moi avant guerre , pour le matricule on dirait 349 C31 A? Donc incorporé à Cherbourg 1931? Marine dk saura nous éclaircir!!! A désigne le personnnel de l'aéronautique navale.
Cordialement

Bonjour,

Rien à redire au commentaire de Rubans29

Ce type de matricule aéro a été utilisé de 10/1929 à 04/1933 - ce qui ne veut pas dire que ce bonnet date de cette période, même si, je pense également à un mle d'avant guerre.

Bonjour,
encore une magnifique trouvaille , bâchi sûrement porté à la base d'hydravions de Querqueville (limitrophe à l'Ouest de Cherbourg).
Bravo, A+, Pierre
ps : on dirait que le pompon était tenu anciennement par le fameux sou troué, on en devine encore l'emprunte...

[quote="coloprimus"
ps : on dirait que le pompon était tenu anciennement par le fameux sou troué, on en devine encore l'emprunte... : /quote]


Bonjour

en ce qui concerne l'usage de la fameuse piéce de monnaie trouée avez vous une explication j'en ai une!!

on comparera!!!

Joel

Lang Son a écrit:

[quote="coloprimus"
ps : on dirait que le pompon était tenu anciennement par le fameux sou troué, on en devine encore l'emprunte... : /quote]


Bonjour

en ce qui concerne l'usage de la fameuse piéce de monnaie trouée avez vous une explication j'en ai une!!

on comparera!!!

Joel

bonjour à tous !

n'était ce pas pour conjurer le mauvais sort et avoir bon vent ?
A +
FP

Bonjour

L'explication qui m'avait été fournie par un mataf de la grande époque (avant 40) !!!

" Une coutume voulait que " toucher le pompon d'un marin portait chance et bien souvent dans le geste l'ornement restait dans les mains de la personne souhaitant avoir de la chance!!

La piéce de monnaie percée retenait le pompon plus solidement !! "

avez vous d'autres explications ?

Joel

Bonjour,

c'est l'explication la plus couramment admise.

Lorsque j'étais en école de formation à Querqueville, nous devions obligatoirement sortir en tenue et le jeu pour les demoiselles cherbourgeoise, était de nous le piquer. (On avait droit à la bise quand-même)

Bien évidemment, contrôle des tenues en passant à l'aubette, et gare à celui, qui rentrait sans houppette. Il valait mieux avoir prévu son coup et en avoir un de rechange dans la poche.

Après, les pièces percées n'existant plus, on mettait une rondelle métallique.

Cette explication tient la route. On m'avait dit que toucher le pompon portait chance, mais c'était aussi une facon de conserver son dernier sou
en cas de bordée trop bahutée à terre. Genre : la rue de la Paix, la rue de l'Union... et tous les bars qui la composent. il fallait à l'époque une
sacrée descente (de gosier). Moyen mnémotechnique, sur la tête et près du bonnet